<\/span><\/h2>\nDes \u00e9tudes ont montr\u00e9 que jouer aux \u00e9checs aide \u00e0 gu\u00e9rir une d\u00e9pression et ces \u00e9tudes ont \u00e9t\u00e9 v\u00e9rifi\u00e9es par plusieurs psychanalystes. La d\u00e9pression se d\u00e9finit comme un trouble mental. Il se caract\u00e9rise par une perte d\u2019int\u00e9r\u00eat pour tout ce que le sujet fait, quelle que soit son activit\u00e9. Il en r\u00e9sulte des cons\u00e9quences n\u00e9gatives sur sa vie de tous les jours.<\/p>\n
La d\u00e9pression n\u2019est pas qu\u2019un trouble passager \u00e0 prendre \u00e0 la l\u00e9g\u00e8re. Elle peut conduire la personne atteinte au suicide. En effet, le sentiment de perte d\u2019int\u00e9r\u00eat et de tristesse se transforme en de v\u00e9ritables sympt\u00f4mes physiques et comportementaux au fil du temps. Le trouble trouve son origine \u00e0 la suite d’une d\u00e9tresse qui peut \u00eatre sociale, biologique ou psychologique. C\u2019est la mani\u00e8re dont le cerveau fonctionne ainsi que les neurones que ces facteurs modifient, conduisant \u00e0 l\u2019\u00e9tat d\u00e9pressif.<\/p>\n
Pour traiter ce trouble, on utilise souvent des m\u00e9dicaments. Ceux-ci peuvent \u00eatre associ\u00e9s \u00e0 la psychoth\u00e9rapie selon l\u2019avis du traitant. En m\u00eame temps, les jeux d\u2019\u00e9checs sont en mesure d\u2019apporter une bonne contribution.<\/p>\n
Le niveau de concentration que le jeu d\u2019\u00e9checs demande est \u00e9lev\u00e9 au point que la personne d\u00e9prim\u00e9e peut oublier son \u00e9tat ou ses probl\u00e8mes pendant un bon moment. En y jouant de temps en temps, pour ne pas dire la majeure partie de son temps, le sujet du trouble peut retrouver son \u00e9quilibre mental peu \u00e0 peu. Il n\u2019y a aucune pression ni stress suppl\u00e9mentaire. Le tout se fait dans un cadre ludique.<\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"
Complexes, les jeux d\u2019\u00e9checs demandent d\u2019avoir une bonne capacit\u00e9 de concentration. D\u00e9couvrez les bienfaits des \u00e9checs pour la sant\u00e9 !<\/p>\n","protected":false},"author":1892,"featured_media":11505,"comment_status":"open","ping_status":"open","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"neve_meta_sidebar":"","neve_meta_container":"","neve_meta_enable_content_width":"off","neve_meta_content_width":70,"neve_meta_title_alignment":"","neve_meta_author_avatar":"","neve_post_elements_order":"","neve_meta_disable_header":"","neve_meta_disable_footer":"","neve_meta_disable_title":"","footnotes":""},"categories":[2201],"tags":[],"_links":{"self":[{"href":"https:\/\/www.davidcouturier.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/11504"}],"collection":[{"href":"https:\/\/www.davidcouturier.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts"}],"about":[{"href":"https:\/\/www.davidcouturier.fr\/wp-json\/wp\/v2\/types\/post"}],"author":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.davidcouturier.fr\/wp-json\/wp\/v2\/users\/1892"}],"replies":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.davidcouturier.fr\/wp-json\/wp\/v2\/comments?post=11504"}],"version-history":[{"count":3,"href":"https:\/\/www.davidcouturier.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/11504\/revisions"}],"predecessor-version":[{"id":13662,"href":"https:\/\/www.davidcouturier.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/11504\/revisions\/13662"}],"wp:featuredmedia":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.davidcouturier.fr\/wp-json\/wp\/v2\/media\/11505"}],"wp:attachment":[{"href":"https:\/\/www.davidcouturier.fr\/wp-json\/wp\/v2\/media?parent=11504"}],"wp:term":[{"taxonomy":"category","embeddable":true,"href":"https:\/\/www.davidcouturier.fr\/wp-json\/wp\/v2\/categories?post=11504"},{"taxonomy":"post_tag","embeddable":true,"href":"https:\/\/www.davidcouturier.fr\/wp-json\/wp\/v2\/tags?post=11504"}],"curies":[{"name":"wp","href":"https:\/\/api.w.org\/{rel}","templated":true}]}}